La Gironde sous l'occupation.
Les répression.

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Bien qu'étant le fait d'une minorité, la Résistance française, par ses actions de renseignement, ses sabotages, ses filières d'évasion et par le sentiment d'insécurité qu'elle arrivait à créer chez l'occupant, déclencha la colère de celui-ci et l'application de représailles déjà connues dans les autres territoires occupés. Ce furent prise d'otages, appel à la délation, arrestations multiples et parfois abusives, brutalités, interrogatoires musclés ou tortures, fusillades et déportations.

L'image des hommes en noirs aux longs manteaux de cuir, bien que caricaturale, reste dans les mémoires. Mais ils ne furent pas les seuls adversaires des résistants. Les Français fournirent leur lot de policiers collaborateurs et acharnés auxquels se joignirent, parfois, des droits communs appâtés par le profit, l'impunité que leurs conférait le choix effectué et la possibilité d'amener au grand jour leur cruauté. Il y eut des policiers collaborateurs mais aussi des gendarmes. Et puis vint la Milice...

Le nombre de Résistants tués, fusillés, morts sous la torture ou en déportation est évalué à 77.615. A ceux-là, il faut encore ajouter 2.782 disparus. (statistiques du ministère des Anciens Combattants et Victimes de Guerre - Les Flambeaux de la Résistance de Pierre Castelneau et Pierre Hug).


La répression française. Mesures spéciales. La répression allemande. Nuit et brouillard. Charte de l'occupant.

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