Mérignac.
Le départ du général de Gaulle.

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De fait, dès le début, comme l'a bien exposé René Cassin, le Comité National français de Londres, par la logique de sa "résistance" totale à Vichy et à l'ennemi, allait revêtir une dimension politique, complémentaire de son action militaire, complémentaire de son action militaire, sanctionnée en métropole par la condamnation à mort du général de Gaulle, par la dénationalisation de ses partisans et la saisie judiciaire de leurs biens par le gouvernement de fait dit "État Français". En retour, la radio de Londres dénonça rapidement le caractère nul et non avenu d'un régime qui, en détruisant sa souveraineté territoriale par l'acceptation des clauses de l'Armistice, comme sa souveraineté de décision, perdait toute légalité et légitimité possible en tant qu'État, cela avant même le vote du 10 juillet 1940 et avant l'aventure de la collaboration.

Le général de Gaulle, quant à lui, porté par les circonstances et sa volonté politique, qui rencontra celle de toute la France Combattante, n'allait revenir à Bordeaux que le 17 septembre 1944.







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